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Ras-le-bol des outils. Parlons du vrai sujet.

Photo du rédacteur: Carole DuboisCarole Dubois


"Vous utilisez quelle marque de clés à molette ?"

Personne (ou presque 😅) ne pose cette question à son garagiste.


Quand vous l’appelez, c’est parce que :

  • Votre moteur fait un bruit bizarre.

  • Votre voiture consomme trop.

  • Vous sentez que quelque chose ne tourne pas rond.


Et vous attendez quoi ? Qu’il trouve la cause du problème et qu’il le règle. Peu importe qu’il utilise une clé plate ou une douille de 17.

Eh bien, dans mon métier, c’est pareil.


L’illusion du bon outil

Souvent, on me demande : "Vous faites du coaching ? De la formation ? Du codéveloppement ?" Comme si le choix de l’outil garantissait le succès de l’intervention.

Mais est-ce vraiment la question ?

Quand une organisation, une équipe ou un dirigeant rencontre des difficultés, ce n’est pas une méthode ou un format qui va tout résoudre. L’essentiel n’est pas l’outil, mais le problème à résoudre.


Ce qui compte vraiment

💡 Ce qui importe, c’est ce que vous voulez dépasser :

📌 Une équipe qui tourne en rond et n’ose plus se dire les choses ?

📌 Des managers qui s’épuisent et n’arrivent plus à mobiliser leurs équipes ?

📌 Une transformation qui ne prend pas, malgré toutes les communications et plans d'actions ?


Les problèmes humains, relationnels et organisationnels sont souvent plus complexes qu’ils en ont l’air. Ce qui bloque n’est pas toujours là où on croit. Et les solutions toutes faites ? Elles échouent souvent parce qu’elles ne tiennent pas compte du contexte, des dynamiques à l’œuvre et de la réalité vécue par ceux qui les subissent.


Une approche sur-mesure

Mon métier, ce n’est pas d’appliquer un modèle standardisé. C’est d’intervenir là où ça coince. De faire émerger ce qui se joue sous la surface, là où les solutions classiques ne fonctionnent plus.

Et pour ça, je ne sors pas une boîte à outils préformatée. Je questionne, j'observe, j'analyse et surtout, je construis avec vous, en fonction de vous.


Et si on parlait de vous ?

Si vous sentez que quelque chose doit bouger, oublions les étiquettes. Parlons d’abord de ce qui vous préoccupe vraiment. Un message, un échange, et voyons où ça nous mène !

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